DAVID TURNLEY ▪ L'AMOUR ET L'ESPOIR
GRILLES DE L’HÔTEL DE VILLE, PARIS
2 septembre 2024 – 7 octobre 2024
David Turnley, lauréat franco-américain du Prix Pulitzer de photographie, est considéré comme l'un des plus grands photographes reporters de notre époque. Arrivé en France en 1975 âgé de 19 ans, il s'installe dans une petite chambre à côté de Notre-Dame de Paris et étudie le français à la Sorbonne. Il fait alors la rencontre des plus grands photographes du siècle, de Henri Cartier-Bresson à André Kertész qui deviendront ses influences majeures.
Tout au long de sa carrière, David Turnley a travaillé dans plus de 90 pays couvrant tous les moments marquants des cinq dernières décennies, de l'emprisonnement de Mandela à la guerre en Iraq. Ses images, souvent publiées dans les plus grands magazines internationaux, ont contribué à façonner notre compréhension des conflits contemporains et à susciter un débat sur les enjeux humanitaires.
Loin des zones de conflit qui ont souvent marqué sa carrière, il a cherché depuis 50 ans à capturer l'âme de la ville Lumière, qu'il décrit comme "sa ville spirituelle". Ses photographies offrent un portrait intime et poétique de Paris, témoignant de la diversité de ses habitants de la beauté de son quotidien.
Ville de Paris
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Commentaire ♥♥♥♥♥
Du 23 septembre au 29 novembre sur les grilles de l'Hôtel de Ville, le photographe David Turnley propose l’exposition « L'amour et l'espoir » présentant ses plus beaux clichés de la ville de Paris, de 1975 à nos jours.
David Turnley, c’est plus qu’un photographe, c’est une légende vivante. Ses clichés, capturés dans plus de 90 pays, ont non seulement façonné la manière dont nous percevons les conflits, mais ils nous montrent aussi ce que beaucoup de reportages passent sous silence : l’émotion brute.
David Turnley aime dire que Paris est sa ville spirituelle. Sous l’œil du photographe, on redécouvre une capitale vivante, parfois crue, mais toujours fascinante. Il nous montre un Paris authentique, un Paris où cohabitent la beauté classique des monuments et la réalité de ses habitants car l’humain est toujours présent dans tous ses clichés.
E.P.
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